Le recours à l’offshore pour les réalisations informatiques est une approche qui, après s’être solidement développée au Royaume-Uni, a gagné l’Europe continentale. Elle représente aujourd’hui une certaine part de marché et affiche une forte croissance.
Les chiffres sur l’offshore sont très difficiles à obtenir, et aujourd’hui aucun cabinet ni aucune organisation n’a d’indicateur rigoureusement exact : des éditeurs de logiciel pratiquent l’offshore depuis longtemps sans en révéler le volume ni même les destinations, et de nombreuses sociétés utilisatrices ne veulent pas révéler la taille de leurs contrats offshore. Par ailleurs nous connaissons mal le réel chiffre d’affaires des acteurs offshore en France.
En conséquence il est difficile de connaitre avec exactitude la part de l’offshore dans les services informatiques. Le graphique ci-dessous donne une idée de la disparité des données sur le sujet :
En France par exemple la profession croise et confronte ses informations, au sein de Syntec Informatique pour s’accorder sur un volume de l’ordre de 400 M€ ou 2% du marché des services en 2005. A partir de cette date on projette une croissance de l’offshore de 30 à 40 % annuels ce qui donnerait le scénario suivant :
Le graphique ci-dessus se base sur une croissance observée des services informatiques en France de l’ordre de 6% par jusqu’en 2008, une baisse de 1% en 2009 puis une croissance limitée à 1% en 2010.
http://www.elecio.fr, http://www.elecio.fr/workshop2010, http://www.elecio.fr/etudes-2010, http://www.elecio.fr/surveys-2010
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